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Avec Lucky Luke, Morris (son dessinateur) a donné ses lettres de noblesse au western humoristique. Pour ce cow-boy solitaire et son destrier Jolly Jumper, la trame des histoires consiste le plus souvent à rattraper les frères Dalton plus bêtes que méchants.



Nous sommes ici rue de la Buanderie, toujours au centre-ville. Désolé pour la tache d'ombre, c'était début de soirée, la rue est étroite, les maisons sont hautes…

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… derrière des barreaux ! Nous sommes toujours rue de la Buanderie, à proximité de Lucky Luke. Pas de bol, cette fresque est située à proximité d'une aire de sport qui n'est pas accessible le dimanche (jour de ma balade). J'ai fait pour le mieux en faisant passer mon apn à travers la grille ! Que cela ne nous empêche pas de rappeler qu'Astérix et Obélix ont été inventés en 1959 par Goscinny (scénario) et Uderzo (dessin) et que 325 millions des albums de leurs aventures ont été vendus de par le monde.





Il a l'air affolé le légionnaire, vous devinez déjà pourquoi…



… c'est l'hallali…



… la mêlée indescriptible…



… l'ultime assaut …



… la déconvenue en vue…



… pour les Romains, et pour les Gaulois,la perspective d'un bon banquet après l'effort !

Ici à titre indicatif un lien vers une autre fresque, sur la façade d'une maison allemande, montrant les deux célèbres gaulois :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Do ... GP8309.jpg

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Les aventures des scouts de la patrouille des Castors ont débuté dans Spirou en 1954, dessinées par Mitacq et scénarisées par Jean-Michel Charlier. Leurs totems sont "Poulain" (le zeboss de la patrouille); "Chat" (son second); Faucon (celui au sommet de l'échelle sur la fresque); "Tapir" (le cuistot, celui au bas de l'échelle sur la fresque); "Mouche".



Nous sommes ici rue Pieremans, dans le quartier des Marolles, pas loin de la gare du Midi

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Hermann c'est "Bernard Prince", c'est "Jérémiah" mais c'est aussi Nic, dont les rêves constituent les aventures qui s'étireront sur trois albums, le méchant étant le Capitaine Bang qui veut enfermer tous les amis (animaux) de Nic dans un zoo.



Nous sommes ici au croisement de la rue des Fabriques et de la rue de la Senne

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… non, il ne s'agit pas de l'empereur qui a défrayé la chronique romaine avec toutes ces folies, mais plutôt d'un "doux-dingue" un peu loufoque dont les aventures ont donné lieu à une saga d'albums qui a connu un très grand succès en VO (néerlandais) mais moins traduit en français. Son dessinateur était Marc Sleen, un caricaturiste travaillant aussi pour la presse flamande.



Nous sommes ici au centre de Bruxelles , à la place Saint-Géry, à deux pas de la place du même nom.

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Cette bédé scénarisée par Yann Le Pennetier et dessinée par Laurent Verron est relativement récente puisque créée en 1996. Dans le cadre des années 30, elle rapporte les aventures du missionnaire Odilon Verjus, accompagné de son second, le novice Laurent de Boismenu. Joséphine Baker (que l'on voit sur la fresque) évoque l'album "Adolf" où elle apparaît. Et le dirigeable tout en haut évoque l'album "Folies Zeppelin".



Nous sommes ici, rue des Capucins, dans le quartier des Marolles, en contre-bas du Palais de Justice, toujours au centre de Bruxelles.

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Ces deux inséparables amis ont été créés en 1939 par Jijé. Leurs aventures ont d'abord paru dans le journal "Petits Belges" avant de se poursuivre dans les pages du magazine Spirou (de 1947 à 1963). Leur animal de compagnie ressemble au Marsupilami, mais n'en est toutefois qu'une ébauche dont Franquin (qui travailla avec Jijé sur Blondin et Cirage) se souviendra plus tard avec la création que l'on sait et sans que cela ne gêne nullement Jijé.



Nous sommes ici toujours Rue Pieremans, dans le Quartier des Marolles, au centre de Bruxelles.

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Jojo Semaine est un petit garçon, toujours coiffé de sa casquette, dont la vie nous est racontée au jour le jour (d'où son nom) avec pour cadre un univers ordinaire mais transfiguré par la magie du trait et de la couleur d'André Geerts. Orphelin de mère, il est confié par son père, plombier, aux bons soins de sa Mamy. Son principal ami est Gros Louis et leurs aventures font l'objet de 18 albums. Il est d'ailleurs beaucoup question de la mort, mais sur un mode tendre et humoristique, dans le dernier d'entre eux "Mamy Blues" paru juste un peu après le décès de son auteur, André Geerts (1955-2010), qui nous a quitté l'an passé alors qu'il n'avait que cinquante ans, des suites d'un cancer.



Nous sommes ici rue Pieremans, toujours dans le Quartier des Marolles, toujours au coeur de Bruxelles, toujours à l'ombre du Palais de Justice !

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Hergé n'est pas que le créateur de Tintin mais aussi celui de Quick et Flupke, deux ketjes bruxellois dont les "exploits" (des gags en deux pages généralement) parurent à partir de 1930 dans "Le Petit Vingtième". Ils font d'autant plus de gaffes que leurs parents ne sont pas très présents… cependant l'Agent 15 veille au grain.



Nous sommes toujours dans le Quartier des Marolles, à l'intersection de la Rue Haute et de la Rue des Renards.

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Dans le monde de la bédé, il arrive que la religion inspire pour le meilleur… et pour le rire ! C'est la grâce que le Tout-Puissant a accordée à ces deux drôles d'apôtres qu sont Stuf (dessin et couleurs) & Janry (scénario). L'idée est toute bête, que se passe-t-il immédiatement après la mort : on se retrouve devant le grand Saint Pierre qui après un examen plus ou moins rapide décrète l'admission au Paradis ou l'envoi en Enfer. Cinq albums de gags (en une ou quelques planches) existent à ce jour.



Nous sommes ici rue des Minimes, au pied du Palais de Justice, en contrebas de la Place Poelart (ce dernier est l'architecte ayant dessiné les plans dudit Palais de Justice). Il ne faut pas s'étonner dès lors que dans le gag mural les policiers (que l'on voit aussi dans la série) soient bien représentés ou encore qu'il y ait un avocat…









Fumeur de joint; bagnard; dame de petite vertu… sont là pour nous rappeler que quand nous sommes sur la pente du vice, le sabre n'est jamais loin du goupillon l



Et pour ceux d'entre nous qui ne connaîtraient pas encore, voici un gag :